Sainte Thérèse de Lisieux au Congrès International pour la Nouvelle Evangélisation

Patronne des missions et moteur de la nouvelle évangélisation, les reliques de la sainte accompagnent le Congrès.

Par Éva Csillag

Sainte Thérèse

Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus a vécu entre 1873 et 1897 à Lisieux dans un couvent carmélite où elle est morte de la tuberculose à l’âge de 24 ans. En obéissant à la volonté de ses supérieures, elle avait rédigé des écrits autobiographiques qui avaient été publiés peu de temps après sa mort, sous le titre Histoire d’une Ame. En 1997 Thérèse a été proclamée docteur de l’église par le pape Jean-Paul II. Elle est devenue patronne des missions, elle, qui n’a jamais quitté le couvent. C’est son cœur qui a pris une dimension mondiale. Thérèse s’adressait avec un amour particulier aux pécheurs, aux missionnaires accomplissant leurs services dans les coins lointains du monde afin d’étancher la soif de Jésus des âmes. C’est ce qu’elle avait fait même dans sa mort. Elle a demandé à Jésus de passer sa vie des cieux sur la terre pour mieux aider les âmes. Elle a exprimé sa volonté d’aider ici, sur la terre. Nombreux sont celles et ceux qui ont déjà fait l’expérience de cette aide. Il suffit de demander avec Sainte Thérèse, car la confiance fait des miracles.

Nous avons plus de 40 photos sur Thérèse et sur sa vie au couvent. Les traits de son visage ont une mission importante. Son regard est à l’origine de beaucoup de conversions. Les désirs de Thérèse se dirigeaient vers l’infini, vers Dieu. Elle a même déclaré vouloir parcourir toute la terre afin de faire aimer Dieu aux hommes. Cette phrase avait été prononcée au couvent qu’elle n’avait jamais quitté depuis son entrée.

Depuis 1994 les reliques de Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus font le tour du monde. C’est ainsi qu’elles arrivent en Hongrie à l’occasion du Congrès International pour la Nouvelle Evangélisation. A partir du 29 août elles sont présentes dans certains diocèses hongrois. Les fidèles ont l’occasion de les retrouver du 14 au 15 septembre au Carmel de la rue Huba, et le 16 septembre à 16 heures à la Basilique. Ensuite, c’est à la Paroisse de Saint Emeric de Buda que les reliques attendent les âmes désireuses de guérir.

Sainte Thérèse est donc le moteur de la nouvelle évangélisation. Elle ne prendra pas la parole dans les rues et sur les places publiques, mais elle sera tout de même présente dans les rues, sur les places publiques et partout à Budapest où nous voulons proclamer l’amour de Dieu avec toutes les inventions du 21eme siècle aux hommes ayant soif et faim de l’Amour. Les intervenants de grande qualité du Congrès en témoigneront. Un film documentaire nous permettra de connaître la voix intime sur laquelle elle s’adressait à Dieu. Ce que nous connaissions, nous aimons.

La prière, les reliques, la photo, la parole nous donnent une nouvelle amie parmi les saints : Thérèse. Son seul désir, et de ce point de vue elle ressemble beaucoup à la Vierge Marie, était de faire aimer Jésus. C’est le secret de la miséricorde, le cœur de la mission, la maternité spirituelle, le secret de Thérèse.


Lire plus : Histoire d’une âme, écrite par elle-même (1873-1897) : « Je suis venu apporter le feu sur la terre, et quel est mon désir, sinon qu’il s’allume ? » Lucae, XII, 49.

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