Contrairement à ce qui se dit et à ce que l’on pense dans le « monde », l’Eglise ne cherche pas à éviter de parler de la dimension corporelle de l’homme et de la femme, et encore moins de la sexualité. C’est ce qu’a soutenu Helen Alvaré, professeur à l’Université George Mason, lors du congrès théologico-pastoral de la 6e Rencontre mondiale des Familles, à Mexico.
La sexualité est-elle un scandale pour l’Eglise ?
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