Au Lycée, c’était la teuf, les copines, le mensonges envers les parents (…) je vivais dans une bulle, avec mes livres de Baudelaire. Je suis parti à un pelerinage en terre sainte, dans l’espoir de trouver des « produits » (à fûmer) intéressants là bas (…) Je voulais absolument toucher le rocher du Golgotha (…) il n’y avait personne. Je n’ai pas pu m’avancer jusqu’au rocher, Boum ! je me suis retrouvé à genoux en pleurant (…) j’ai senti au plus profond de moi l’Amour du Père (…)
Encore un mot...
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Salut en Christ Jésus notre Seigneur !
" Mais bien plus sûrement le Sang du Christ qui s’est offert Lui-même à Dieu par l’Esprit éternel comme une victime sans tache, lavera notre conscience des œuvres de mort pour que nous servions le Dieu vivant. " (He 9, 14-15)
Amen. Soit béni Père saint pour ta miséricorde. Soutiens le pape Benoît XVI, les évêques, les presbytres, les diacres, les religieux et tout ton peuple racheté par le Sang précieux de ton Fils unique !
Que le Saint-Esprit porte puissament chaque baptisé-confirmé à témoigner en paroles et en actes que Dieu nous aime infiniment en Jésus Christ notre Seigneur !
Dieu vous bénisse abondamment
Des filles et des fils d’Abraham se déchirent et se tuent depuis des siècles pour la possession d’une ville, Jérusalem, qui serait en tout semblable à n’importe quelle autre ville, si elle n’était porteuse d’une si grande puissance religieuse, capable d’engendrer plus de morts que n’importe quelle guerre atomique.
Ils se disent pourtant frères du même père, mais lorsqu’il s’agit de la possession de quelques hectares exprimés en rites ostentatoires qui restent vides de sens devant une si petite réalité – Combien de fois cette Jérusalem a-t-elle été prise, déshonorée et détruite ? Aujourd’hui même, c’est le cœur d’une bombe qui peut faire exploser non seulement le moyen Orient mais la planète. On a frôlé et bien senti ce risque lors de la guerre toute proche du Koweït.
Un homme il y a deux mille ans a pourtant refondé l’histoire humaine en ce lieu unique, un homme qui parce que c’était là, à Jérusalem justement, lieu symbolique du déchirement aveugle des passions humaines les moins nobles, qu’il fallait proposer à l’homme libre de des choix, une autre manière de transcender, de vaincre sa barbarie, de rejeter les plaies immondes de l’orgueil, de la haine, de la possessivité, de l’asservissement injuste, de la bêtise qui nous conduisent aux guerres et à la mort des hommes et des civilisations.
IL nous disait, et nous répète encore aujourd’hui : « Combien de fois Jérusalem – Jérusalem j’ai essayé de rassembler tes enfants, comme une poule ses petits … » N’est ce pas ce à quoi nous assistons encore, aujourd’hui ? Est ce enfin le jour où nous pourrons nous rassembler dans cette capitale planétaire, non plus pour y posséder quelques mètres de terre ou lieu de culte. Mais pour nous reconnaitre entre frères d’une même planète, d’un même créateur.
Si les fils d’Israël et d’Ismaël s’entredéchirent aujourd’hui pour ces quelques bouts de terre, n’est ce pas à ceux qui se réfèrent à l’Homme qui a fait de cette ville par son sacrifice unique, la capitale de l’Amour parfait, de la Vérité absolue, de la Sagesse infinie, à prendre la responsabilité en son nom de réconcilier les deux frères ennemis et tous les hommes de bonne volonté religieux ou païens, La Foi, l’Amour, la Vérité, la Sagesse et la Charité sont des biens connus appartenant à tous, dont le Créateur Universel est l’unique dispensateur en chacun de nous.
Pourquoi à l’occasion de ce conflit, les disciples de Celui qui a transcendé la possessivité, et qui ne possèdent rien à Jérusalem, sinon la mémoire du Sauveur de l’Humanité, ne proposeraient-ils pas de faire de Jérusalem la Capitale Mondiale de tous les organismes mondiaux de gestion de la planète. En faire un lieu totalement neutre, de rencontre, de paix, de justice, de solidarité, de recherche libre et d’œcuménisme réellement vécu.
Jérusalem n’appartiendrait plus à personne puisqu’elle appartiendrait à tous dans le meilleur d’eux même.