Un petit coup de gueule. J’entends encore dire, dans un certain microcosme ecclésial, que l’évangélisation, en particulier la nouvelle, relève d’une recherche effrénée de l’émotion pour l’émotion, du sensible pour le sensible. Et pourquoi pas du plaisir pour le plaisir, tant qu’on y est ?
L’évangélisation est-elle une question de sensibilité ?
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