Archives par étiquette : évangélisation

Patrice de Plunkett : « La nouvelle évangélisation sera l’évangélisation d’une France et d’une Europe radicalement nouvelles »

Débat étonnant dans Témoignage chrétien, sur la question « L’Eglise est-elle encore influente ? » Patrice de Plunkett y signe une tribune très intéressante :


La « nouvelle évangélisation » sera l’évangélisation d’une France et d’une Europe radicalement nouvelles, où il n’y aura ni trace ni écho des nostalgies (progressistes ou conservatrices) d’une bourgeoisie marquée par le passé plus ou moins proche.

La nouvelle évangélisation, c’est vivre la foi chrétienne plénière dans une société européenne devenue mondiale, où le passé culturel ne veut plus rien dire. La foi vit dans l’instant présent. Le passé n’évangélise pas. Et la prêtrise n’est pas le passé : c’est la Cène, aujourd’hui, hier et demain, jusqu’à la consommation des siècles.

En France et ailleurs, la seule influence que cherche l’Église est celle du Christ dans chaque âme.

Lire l’intégralité de l’article : Témoignage chrétien

Pour en savoir plus sur Patrice de Plunkett : voir son blog

Evangéliser la culture ?

Culture

Comment peut-on évangéliser la culture, ou plutôt les cultures ? La réponse est donnée dans la fantastique exhortation apostolique de Paul VI sur l’évangélisation dans le monde moderne, Evangelii Nuntiandi, au numéro 20. Avec à la clef, la nécessité de proclamer la Bonne Nouvelle du salut.

Evangélisation des cultures

20. Nous pourrions exprimer tout cela en disant : il importe d’évangéliser — non pas de façon décorative, comme par un vernis superficiel, mais de façon vitale, en profondeur et jusque dans leurs racines — la culture et les cultures de l’homme, dans le sens riche et large que ces termes ont dans Gaudium et spes(1), partant toujours de la personne et revenant toujours aux rapports des personnes entre elles et avec Dieu.

L’Evangile, et donc l’évangélisation, ne s’identifient certes pas avec la culture, et sont indépendants à l’égard de toutes les cultures. Et pourtant le Règne que l’Evangile annonce est vécu par des hommes profondément liés à une culture, et la construction du Royaume ne peut pas ne pas emprunter des éléments de la culture et des cultures humaines. Indépendants à l’égard des cultures, Evangile et évangélisation ne sont pas nécessairement incompatibles avec elles, mais capables de les imprégner toutes sans s’asservir à aucune.

La rupture entre Evangile et culture est sans doute le drame de notre époque, comme ce fut aussi celui d’autres époques. Aussi faut-il faire tous les efforts en vue d’une généreuse évangélisation de la culture, plus exactement des cultures. Elles doivent être régénérées par l’impact de la Bonne Nouvelle. Mais cet impact ne se produira pas si la Bonne Nouvelle n’est pas proclamée.

(1) Cf. n. 53 : AAS 58 (1966), p 1075.

Source : Evangelii Nuntiandi

Evangéliser les musulmans, selon Charles de Foucauld

Bienheureux Charles de Foucauld

Bienheureux Charles de Foucauld

Voici une lettre de Charles de Foucauld adressée en 1907 à René Bazin, de l’Académie française. Parlant du risque d’un empire africain musulman indépendant, il explique comment pratiquer l’évangélisation des musulmans dans ces pays : « tendrement, discrètement, par persuasion, bon exemple, bonne éducation, instruction, grâce à une prise de contact étroite et affectueuse, oeuvre surtout de laïcs français qui peuvent être bien plus nombreux que les prêtres et prendre un contact plus intime. » Extrait.

« Ma pensée est que si, petit à petit, doucement, les musulmans de notre empire colonial du nord de l’Afrique ne se convertissent pas, il se produira un mouvement nationaliste analogue à celui de la Turquie : une élite intellectuelle se formera dans les grandes villes, instruite à la française, sans avoir l’esprit ni le cœur français, élite qui aura perdu toute foi islamique, mais qui en gardera l’étiquette pour pouvoir par elle influencer les masses ; d’autre part, la masse des nomades et des campagnards restera ignorante, éloignée de nous, fermement mahométane, portée à la haine et au mépris des Français par sa religion, par ses marabouts, par les contacts qu’elle a avec les Français (représentants de l’autorité, colons, commerçants), contacts qui trop souvent ne sont pas propres à nous faire aimer d’elle. Le sentiment national ou barbaresque s’exaltera dans l’élite instruite : quand elle en trouvera l’occasion, par exemple lors de difficultés de la France au dedans ou au dehors, elle se servira de l’islam comme d’un levier pour soulever la masse ignorante, et cherchera à créer un empire africain musulman indépendant.
L’empire Nord-Ouest-Africain de la France, Algérie, Maroc, Tunisie, Afrique occidentale française, etc., a 30 millions d’habitants ; il en aura, grâce à la paix, le double dans cinquante ans. Il sera alors en plein progrès matériel, riche, sillonné de chemins de fer, peuplé d’habitants rompus au maniement de nos armes, dont l’élite aura reçu l’instruction dans nos écoles. Si nous n’avons pas su faire des Français de ces peuples, ils nous chasseront. Le seul moyen qu’ils deviennent Français est qu’ils deviennent chrétiens.
Il ne s’agit pas de les convertir en un jour ni par force mais tendrement, discrètement, par persuasion, bon exemple, bonne éducation, instruction, grâce à une prise de contact étroite et affectueuse, oeuvre surtout de laïcs français qui peuvent être bien plus nombreux que les prêtres et prendre un contact plus intime.

Des musulmans peuvent-ils être vraiment français ? Exceptionnellement, oui. D’une manière générale, non. Plusieurs dogmes fondamentaux musulmans s’y opposent ; avec certains il y a des accommodements ; avec l’un, celui du medhi, il n’y en a pas : tout musulman, (je ne parle pas des libre-penseurs qui ont perdu la foi), croit qu’à l’approche du jugement dernier le medhi surviendra, déclarera la guerre sainte, et établira l’islam par toute la terre, après avoir exterminé ou subjugué tous les non musulmans. Dans cette foi, le musulman regarde l’islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants ; s’il est soumis à une nation non musulmane, c’est une épreuve passagère ; sa foi l’assure qu’il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l’engage à subir avec calme son épreuve;  » l’oiseau pris au piège qui se débat perd ses plumes et se casse les ailes ; s’il se tient tranquille, il se trouve intact le jour de la libération « , disent-ils ; ils peuvent préférer telle nation à une autre, aimer mieux être soumis aux Français qu’aux Allemands, parce qu’ils savent les premiers plus doux ; ils peuvent être attachés à tel ou tel Français, comme on est attaché à un ami étranger; ils peuvent se battre avec un grand courage pour la France, par sentiment d’honneur, caractère guerrier, esprit de corps, fidélité à la parole, comme les militaires de fortune des XVIe et XVIIe siècles mais, d’une façon générale, sauf exception, tant qu’ils seront musulmans, ils ne seront pas Français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du medhi, en lequel ils soumettront la France.

De là vient que nos Algériens musulmans sont si peu empressés à demander la nationalité française : comment demander à faire partie d’un peuple étranger qu’on sait devoir être infailliblement vaincu et subjugué par le peuple auquel on appartient soi-même ? Ce changement de nationalité implique vraiment une sorte d’apostasie, un renoncement à la foi du medhi… »

Charles de Foucauld

(Merci à JM)

Faut-il évangéliser l’Occident ? (Oui, pour Samuel Pruvot)

Samuel Pruvot

Le rédacteur en chef actualités de l’hebdomadaire Famille Chrétienne, Samuel Pruvot, revient sur la bonne nouvelle que nous étions les premiers à annoncer en France sur la création d’un dicastère pour la nouvelle évangélisation :

Bruit de réseaux sur Internet. (…) Un dicastère consacré à l’évangélisation de l’Occident. L’Occident où l’Évangile a été annoncé, mais où sa trace s’est estompée au fil du temps. Au point de sombrer sous la barre des 1 % de pratiquants dans certains diocèses français. Les catholiques passent aujourd’hui pour une espèce en voie de disparition, au même titre que les ours blancs.

Pour l’éditorialiste, c’est une très bonne nouvelle :

Ce nouveau dicastère est donc bienvenu. « France, pays de mission », tel était déjà le titre d’un best seller imprimé pendant la guerre (ndlr : plutôt en 1947 ?). Entre temps la prophétie s’est réalisée. Évangéliser ou disparaître, telle est désormais la question.

Il revient d’ailleurs sur le forum Communion-Evangélisation :

Cependant, la fille aînée de l’Église n’a pas dit son dernier mot. À preuve le congrès Communion et Évangélisation qui s’est déroulé du 23 au 25 avril à Avignon. Une initiative chaleureusement soutenue par Mgr Rey et par Mgr Cattenoz. Le thème ne faisait pas peur : « L’évangélisation pour les nuls ». Mais les intervenants donnaient le frisson en racontant leurs exploits apostoliques. Des bordels de Pigalle aux plages de Saint-Tropez, des myriades de conversions inattendues et consolantes.

Lire la suite : Famille Chrétienne

A propos de la troisième vague

Evêque auxiliaire de Reims, Mgr Joseph Boishu est responsable du groupe épiscopal d’accompagnement du Renouveau charismatique. Dans un entretien accordé au portail de l’Eglise catholique de France, il présente un ouvrage publié suite à une rencontre organisée à Paris en mai 2009 pour les délégués diocésains au Renouveau et des responsables de communautés charismatiques.

La question du discernement est sous-jacente :

Nous voyons apparaître depuis quelques années comme un nouvel élan charismatique qu’on a appelé « Troisième vague » ou « Mouvement de la Gloire ». Ce nouvel élan se manifeste surtout par de grands rassemblements qui se déroulent dans une ambiance émotionnelle forte et avec des phénomènes comme des guérisons, des « repos dans l’Esprit » (état de paix, de sérénité et d’abandon, NDLR), des spasmes, des rires… La Parole y est annoncée par divers orateurs, catholiques, réformés, évangéliques…

Il perçoit l’évangélisation commune comme une chance :

Même si ce n’est pas toujours facile, cette collaboration œcuménique est une chance pour l’évangélisation aujourd’hui. Dans son encyclique « Ut unum sint », Jean-Paul II écrivait « Les relations entre chrétiens… demandent dès maintenant les collaborations pratiques possibles à divers niveaux, pastoral, culturel, social et aussi dans le témoignage du message de l’évangile… Cette collaboration est aussi une épiphanie du Christ lui-même » (n° 40). Cette évangélisation commune est alors une chance.

Et en même, temps, à propos de cette évangélisation pratiquée ensemble (comme entre évangéliques et catholiques), il précise qu’il faut aussi un discernement théologique :

Cette collaboration est aussi une épiphanie du Christ lui-même » (n° 40). Cette évangélisation commune est alors une chance. Bien sûr, elle demande à être réfléchie et accompagnée d’un vrai travail de discernement théologique.

Enfin, il rappelle aussi que c’est toute l’Eglise qui est charismatique, puisqu’elle vit aussi du charisme de ses membres :

Nous savons, comme l’a dit Jean-Paul II, que « la dimension institutionnelle et la dimension charismatique sont co-essentielles à la constitution divine de l’Eglise ». (Message aux participants du Congrès des Mouvements ecclésiaux, D. C. du 5-07-1998.)

Lire la suite : l’entretien sur le portail Catholique.fr

Benoît XVI va créer le Conseil pontifical pour la nouvelle évangélisation

Une très importante décision du pape : Benoît XVI publiera dans les prochaines semaines une lettre apostolique créant le Conseil pontifical pour la nouvelle évangélisation. Le président en sera Mgr Rino Fisichella, actuel recteur de l’université du Latran (où il sera remplacé par le salésien don Enrico Dal Covolo). Cette idée a été proposée par le Patriarche de Venise SER Mgr.Angelo Scola. Cette nouvelle mission vise directement à réévangéliser l’Europe, les USA, l’Amérique du Sud. Cette nouvelle charge a été expressement pensée et voulue par le Saint-Père.Mgr Fischella voit son importance renforcée à la Curie. D’autre part Mgr. Gianfranco Ravasi, ministre de la Culture au Vatican, se voit propulsé au premier rang pour la succession du cardinal Tettamanzi à l’archevéché de Milan.

Source : lu dans Sagri Palazzi, par le vaticaniste Andrea Tornielli (merci à Pierre)

On a retrouvé l’arche de Noé

L'Arche de Noé version Playmobil

L'Arche de Noé de l'exposition « Il était une foi Playmobil » (jusq'au 16 mai au musée des Arts décoratifs à Paris)

« Si eux se taisent, les pierres crieront » : comment ne pas penser à cette parole de l’Evangile (Luc 19,40) en apprenant cette nouvelle ? Comme si, par manque d’évangélisation de la part des croyants, les fouilles archéologiques se font révélateur de l’histoire sainte, Bible à l’appui…

L’arche de Noë retrouvée en Turquie ? (AFP)

Un groupe d’explorateurs évangéliques chinois et turcs ont annoncé aujourd’hui qu’ils pensaient avoir découvert l’arche de Noé sur un sommet de quelque 4000 mètres du mont Ararat en Turquie. Ils affirment avoir retrouvé des restes en bois de la structure de l’arche dont la datation au carbone quatorze remonterait à 4.800 ans, époque présumée où l’arche aurait navigué.

« Nous ne sommes pas sûrs à 100% qu’il s’agit de l’arche mais nous le sommes à 99,9% », a déclaré Yeung Wing-cheung, réalisateur chinois de films documentaires à Hong Kong et l’un des quinze membres de l’équipe baptisée Noah’s Ark Ministries International. La structure de l’arche comporte plusieurs compartiments, certains dotés de poutrelles en bois, qui devaient abriter des animaux, a-t-il ajouté.

L’équipe a exclu que l’emplacement de la découverte ait été habité puisqu’on n’a jamais trouvé, dans la région, de traces de présence humaine au-delà de 3.500 mètres d’altitude. Les responsables turcs locaux vont demander au gouvernement de demander à l’UNESCO d’accorder à la région le statut de « patrimoine mondial » afin que le site soit protégé pendant toute la durée des fouilles, a indiqué Yeung.

Selon la Bible, Dieu aurait déclenché le déluge pour laver la terre de sa corruption et demandé à Noé de construire une arche et d’y placer un spécimen de chacune des espèces vivantes. Toujours selon la Bible, lorsque les eaux de l’inondation provoquée par le déluge se sont retirées, l’arche s’est posée à sec sur l’une des hauteurs d’une chaîne montagneuse que certains chercheurs pensent être le mont Ararat.

Communion-Evangélisation : premier retour

Celui de Patrice de Plunkett qui participait, comme nous, aux interventions :

Organisée en Avignon ce week-end par Mgr Cattenoz et Mgr Rey, la rencontre Communion et évangélisation a été trop riche et dense pour être synthétisée en quelques mots. Un public nombreux, toutes sensibilités, milieux et âges mêlés ; beaucoup de jeunes ; une animation musicale et une ferveur collective happy-clappy à se croire dans une assemblée évangélique, ce qui me rappelait mon enquête récente (si ce n’est la présence de la Vierge Marie dans les chants) ; des témoignages et des enseignements impressionnants, en phase avec le monde réel. C’est un creuset pour demain, un laboratoire du catholicisme en mutation, et le test du succès de la politique pastorale consistant à associer « toute la palette de ce que l’Eglise inclut », selon la formule du directeur du séminaire de La Castille, le P. Arnaud Adrien.

lire la suite : sur son blog

Au nom du Père

Au nom du Père

Ce n’est pas un nouveau film du genre, mais un documentaire de Virginie Ledoyen et Jean-Marc Coudert diffusé ce soir sur France 4. Ils ont rencontré plusieurs séminarites pour comprendre le sens de leur vocation. On parlera sans doute de la mission première de l’Eglise, l’évangélisation…

Continuer la lecture

A Malte, Benoît XVI a lancé un appel à l’« exaltant défi de la nouvelle évangélisation »

Malte - évangélisation

A l’approche du Forum Communion-Evangélisation – « la nouvelle évangélisation pour les nuls » qui a lieu en Avignon ce week-end (lire cet article du Dauphiné Libéré), comment ne pas voir dans l’appel de Benoît XVI à Malte un écho à cette pressante urgence d’évangéliser nos contemporains en quête de sens en employant des moyens nouveaux ? « Je lance un appel à chacun de vous à faire sien l’exaltant défi de la nouvelle évangélisation », a en effet déclaré le pape.

Continuer la lecture

Benoît XVI aux jeunes maltais : « manifester à tous l’amour de Dieu »

Benoît XVI - évangélisation

Dimanche, en fin d’après-midi, Benoît XVI s’est adressé aux jeunes réunis dans le port de la Valette, capitale de l’île de Malte où le pape s’est rendu pour une visite de deux jours à l’occasion du 1950e anniversaire du naufrage de saint Paul (17-18 avril). Dans la vie consacrée, mais aussi comme chrétiens, il a appelé à manifester l’amour de Dieu à tous, sans exception. Extraits.

Continuer la lecture

Mgr Cattenoz : « Pour évangéliser, remettre le Christ à la première place »

Mgr Jean-Pierre Cattenoz - évangélisation

Mgr Jean-Pierre Cattenoz est archevêque d’Avignon depuis octobre 2002. A quelques jours du forum Communion-Evangélisation qu’il accueille à nouveau cette année dans son diocèse, voici un extrait de l’entretien paru dans mon livre Dieu est de retour, la nouvelle évangélisation de la France (*).

Continuer la lecture

Spiritus Dei : des prêtres qui déménagent !

C’est une méthode « nouvelle évangélisation » qui conciste à prendre des moyens nouveaux – ici le clip – pour annoncer le Christ, une idée venue de l’autre côté de l’Atlentique. L’évangélisation de ces prêtres ne fait donc que commencer. Un article de Benjamin Coste pour Famille Chrétienne.

Continuer la lecture

Quelle est la priorité de Benoît XVI ?

Cardinal Ruini

Dans un entretien accordé au quotidien italien La Repubblica, Le cardinal Camillo Ruini, vicaire général émérite du pape pour le diocèse de Rome, auteur des méditations du Chemin de Croix du Colisée et responsable de la Commission sur Medjugorje, rappelle la priorité de Benoît XVI : l’évangélisation.

Continuer la lecture

Une nouvelle église va être construite à Vaulx-en-Velin

Nouvelle église Vaulx-en-Velin - première pierre

Les sacristains seront contents, voici une nouvelle qui les réjouira en cette période de marasme médiatique : une nouvelle église va être construite à Vaulx-en-Velin, et donc une nouvelle sacristie… dont bien sûr on espère qu’ils sortiront pour aller évangéliser sur le parvis ! Le cardinal Barbarin pose la première pierre le 30 avril. Une pastorale d’engendrement, ou comment développer la mission première de l’Eglise, l’évangélisation, en construisant de nouveaux édifices ?

Continuer la lecture

Benoît XVI : « Le prêtre propose la vérité qui est le Christ »

Benoît XVI - évangélisation

« Souvent la voix du prêtre semble résonner dans le désert, et c’est là sa force prophétique, celle de ne pas se laisser homologuer par les cultures ou mentalités dominantes » a souligné le pape. Pour Benoît XVI, le sacerdoce est une « réponse en vue de devenir annonciateur de la vérité du Christ », donc à participer à l’évangélisation, être la voix du Bon Pasteur.

Continuer la lecture

Evangélisation au Kazakhstan

Un pays qui fait deux fois l’Europe et qui ne dit rien à personne. Pour Mgr Scheineder, évêque du diocèse de Karaganda « l’évangélisation de ces contrées est avant tout une évangélisation de présence, de témoignage et donc la tâche des laïcs est très importante ». Un article paru sur le site de l’Opus Dei.

Continuer la lecture

Pâques doit nous pousser à l’évangélisation

Mgr Raymond Centènes - évangélisation

Pour Mgr Centène, évêque de Vannes, Pâques est l’occasion d’évangéliser « sans cesse, à temps et à contretemps, sans peur et sans honte ». C’est ce qu’il écrit dans la revue diocésaine Chrétiens en Morbihan.

Continuer la lecture

Benoît XVI à propos d’Internet : « Ouvrir un espace à ceux pour qui Dieu est encore inconnu »

Internet - Benoît XVI - évangélisation

À l’occasion de la 44e Journée mondiale des communications sociales, qui aura lieu le 16 mai prochain, le pape a publié le 23 janvier dernier un message résolument positif. Pour Benoît XVI, il s’agit « d’aider les hommes d’aujourd’hui à découvrir le visage du Christ », autrement dit, d’évangéliser.

Continuer la lecture

Prêtres : ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain

Don Camillo

La pédophilie d’une infime minorité de prêtres, par la gravité de ce crime, est un drame pour toute l’Eglise. Après les victimes, c’est aussi un drame pour le monde à qui les chrétiens doivent témoigner de la bonne nouvelle du salut par un témoignage de vie authentique. Cela entâche particulièrement la mission d’évangélisation du prêtre, qui doit être un « alter christus », c’est-à-dire un « autre Christ » (cf cette vidéo). Mais il ne faut pas non plus jeter le bébé avec l’eau du bain. Sur 400.000 prêtres dans le monde, 300 au total ont été incriminés, nous rappelle un article du journal espagnol Al mundi dont nous reprennons ici un extrait.

Continuer la lecture

Bonne nouvelle : il est ressuscité !

Résurrection - évangélisation

C’est ce que nous ont appris les femmes. Elles portent la vie et accompagnent traditionnellement les mourants. Là encore, elles sont les premières à nous l’annoncer. Les femmes ont donc un rôle premier dans l’évangélisation. Que nous disent-elles ?

Continuer la lecture